Le sexe n'est qu'une drogue, on ne peut pas s'en lasser. || LIBRE.

Pour une fois que Tillikum aimait ça, il continuait de plus belle. Mais il se précipitait derrière la demoiselle pour la monter. Il voulait son heure, lui aussi. Son engin se dressait comme un mat de bateau. Tillikum montait alors sur la demoiselle, ne lui laissant pas le plaisir d'avant. Il la maintenait ensuite fortement contre lui et commençait ses vas et viens brutaux. Il se mit à jouir, et entrait avec force en elle.

Tillikum donnait toute la force qu'il avait dans ses mouvements. Parfois, il heurtait le fond de l'intimité de la demoiselle. L'alézane ne semblait pas être tendue, aux yeux de Tillikum. Le mâle jouit alors, prenant le temps de bien faire les choses comme il le fallait.

Le mâle blanc tenait jusqu'au bout. Il sentait que le poids de la jument allait céder sous son poids. Seulement, Tillikum continuait ses vas et viens assez rapidement, avant de se retirer de toute vitesse avant de tomber sur la jument. Il s'ébrouait ensuite, laissant son engin rentrer à la maison.

Au final, sentant cette femelle incapable de supporter le poids, Tillikum redescendit à terre. Il s'ébrouait, mais très vite, le mâle remontait sur Pear. Son engin recherchait l'entrée, et la trouva très vite. Le mâle recommençait ses vas et viens permanent, et très violents. Jamais il n'avait été aussi violent dans cet acte. Mais là, l'étalon blanc y mettait toute sa force. Le plaisir arrivait comme une fusée, telle une flèche tirée d'un arc. Il jouit alors, laissant la femelle dans un sale pétrin.

L'étalon soutenait la moitié de son poids lorsqu'il piétinait, et il essayait de se soutenir un peu pour rester sur cette donzelle le plus longtemps possible. La jument n'avait presque plus rien à supporter sauf un petit poids peut-être sur ses os du bassin. Tillikum continuait ses mouvements brutaux de plus belle, se fichant de la douleur de la jument.